Bilans et épilogue de la collection
Le Groupe de Recherche sur le Patrimoine musical (1450-1750) a pour objectif de mieux faire connaître la musique de 1450 à 1750 environ, par des recherches d’archives, restitutions d’œuvres, publications, auditions musicales et un colloque annuel en Sorbonne.
La série Itinéraires du Cantus firmus concerne les spéculations théoriques depuis le Moyen Âge, leurs répercussions sur les techniques compositionnelles et leurs applications jusqu’au xxie siècle, en Occident et en Orient. Chaque publication, avec ses diverses communications, n’impose pas nécessairement un titre global synthétisant l’ensemble de son contenu, mais le CANTUS FIRMUS reste le dénominateur commun des 10 volumes.
Ce Volume X contient 12 communications relatives à la présence du cantus firmus grégorien et profane (chansons), dans des Messes, la musique d’orgue espagnole, l’œuvre de J. S. Bach et d’A. Guilmant, la musique chorale de J. Brahms, les œuvres de R. Vaughan-Williams jusqu’au Cycle (orgue) de J. Pichard, compositeur et organiste contemporain.
En outre, il propose des Bilans (quantitatif, historique, géographique) avec index permettant de retrouver chaque communication dans les dix volumes. En Épilogue, il atteste l’extraordinaire présence du cantus firmus à la fois dans le temps, dans l’espace, dans la théorie. Ce Volume X a mis en évidence l’universalité et la pérennité du cantus firmus.
Cette collection a, en fait, révélé de façon insoupçonnée au départ les définitions successives, les acceptions et l’évolution de la théorie et de la notion de cantus firmus. Au fil des 111 communications (plus de 1 800 pages), de cet imposant Bilan et de l’Épilogue les historiens, musicologues, organistes, chefs, discophiles et mélomanes pourront suivre les multiples applications du principe. Les hymnologues trouveront aussi une démarche originale et neuve qui s’achève avec ce Volume X : Le Cantus firmus : Universalité. Bilans et Épilogue de la Collection : autant de nouvelles exploitations du cantus firmus à découvrir.
